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Vous pouvez peut-être simuler la joie, mais pas un battement de cœur. Malheureusement pour les fabricants d'objets connectés exploitant le rythme cardiaque de ses utilisateurs, il est très difficile de déduire quoi que ce soit à partir de ce dernier. En revanche, la variabilité de fréquence cardiaque, elle, est beaucoup plus significative. Ces petites différences dans les intervalles entre les battements de cœur sont utilisées pour mesurer le niveau de stress depuis les années 60. Mais cette mesure est assez difficile à obtenir. Impossible de mesurer la variabilité de fréquence cardiaque à partir d'un capteur situé au niveau du poignet, ce qui explique pourquoi de nombreuses startup tentent de trouver un moyen de fixer des capteurs sur la poitrine de la manière la moins encombrante possible.Les fondateurs de Sensaura pensent avoir résolu ce problème en « forçant » les données de piètre qualité produites par les bracelets connectés à révéler des informations précises sur les états émotionnels des utilisateurs. (Jusqu'à présent, Sensaura travaille avec Adidas miCoach et quelques autres modèles, mais pas encore avec Fitbit.) Pour cela, il utilise un algorithme propriétaire développé par Mojtaba Khomami, directeur de la technologie au sein de l'entreprise, et doctorant à l'Université de Trento en Italie. Il étudie l'informatique affective et les neurosciences.Sensaura pourrait devenir le Graal des annonceurs
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